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enseignante à Istanbul ; étudiante à Grenoble

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Samedi (24/03/07)
Etre étudiante a distance
--> difficultés que je vis

Bonjour,

Voici mes réflexions sur les difficultés d'être étudiante  à  distance:

Quand j'ai commencé a la deuxième année je ne savais pas  ce que je vivrais pendant cette période et j'étais très motivée parce que je voulais beaucoup obtenir ce degrés mais   dès que j'ai commencé , tout d'abord j'ai vu que ce n'était pas comme prévu: premièrement dans la description on disait que les cours étaient pour une semestre mais j'ai vu que les cours ainsi que les tâches a réaliser étaient pour deux semestres et en plus il y avait beaucoup de tâches a réaliser pour chaque mois. C'est vrai qu'une personne qui ne travaille pas pouvait élaborer tout ce qu'on veut d'elle très facilement mais moi je travaille tous les jours régulièrement j'ai des responsabilités dans notre établissement je me suis rendue compte que je ne m'en sortirai pas et j'ai commencé par repousser la remise du mémoire a la deuxième session mais je crois que cela ne suffira pas parce qu'il y a certains cours auxquels il faut consacrer beaucoup de temps parce qu'on nous demande d'écrire nos réflexions sur le chapitre. Lire, comprendre et ensuite donner ses réflexions prends de temps. J'ai écrit "comprendre" séparément parce que parfois comprendre un chapitre prend beaucoup de temps car le français n'est pas ma langue maternelle et de temps en temps j'ai des difficultés a comprendre quelques tournures de phrases ce qui me démoralise et qui me fait penser a laisser tout, de côté. Cette pensée me vient surtout quand les tâches viennent l'une après l'autre ce qui est très démoralisant. je me sens seule et j'ai peur de ne pas pouvoir finir cette année. Et si je ne peux pas finir je dois payer encore une fois et ça je ne veux pas. Pourquoi un tas de tâches à réaliser? Je me demande parfois si les professeurs ne sont pas au courant de l'un de l'autre. Heureusement qu'une de nos tâches a été supprimé ça c'est déjà quelque chose. Pourquoi les autres ne font pas une faveur comme celle-ci?

Quant a mes réflexions sur le travail en collaboratif .J'avais écris sur le forum mais j'ajoute encore quelques idées: Je trouve que c'est difficile quand on habite dans quatre coins du monde. Au début je croyais qu'on ne pourrait pas réaliser cette tâche mais après grâce a Julie qu'on a pu se rassembler et qu'on a pu parler. Même si ce n'est pas encore précis maintenant je sais un petit peu ce qu'on doit faire pour finir ce scénario. Merci Julie tu es géniale, je suis très contente de te connaître et travailler avec toi.

J'ai aussi travaillé à deux , on a fini et on a envoyé notre tâche, maintenant il faut la réviser mais comme elle ne vient pas régulièrement sur le forum impossible de partager nos idées .Je ne sais pas combien de fois je lui ai écrit mais elle ne m'a pas répondu. Je suis inquiète et a vrai dire je ne suis pas contente du tout de cette collaboration.

Pour conclure je peux dire que je suis déçue et démoralisée.

Ecrit par birolc, a 14:30 dans la rubrique troisieme article.
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Dimanche (11/02/07)
Travailler en binôme et le platforme DOKEOS
--> mes reflexions

Bonjour,

Grâce a Dokeos que j'ai appris a travailler en binôme et je suis tres contente.Jusqu'a présent je ne pouvais jamais penser a travailler avec des personnes que je ne verrais pas mais j'ai vu que cela pouvait se faire. Nous avons fini notre premiere tâche avec Raphael (excellent partenaire de travail) il était tres serieux  et je pense qu'on a réalisé un bon travail. Maintenant on travaille avec Edith qui est tres gentille tres serieuse.Je me sens que je ne suis pas seule a réaliser cette deuxieme tâche.  

"Travailler a quatre" a vrai dire au debut c'était impossible pour moi mais maintenant je vois bien que tout le monde a commencé a participer pour la réalisation du scénario.Elles ont aimé mon opinion et tout le monde est d'accord. J'en suis ravie.

Sur le forum(excellente idée pour le télé-enseignement) je peux poser toutes sortes de questions on me repond. Je peux egalemnt lire les questions des autres et les reponses données par les tuteurs.

Je veux ajouter une derniere remarque: Ce soir j'ai cre que j'ai perdu un livret de mes cours et je me suis paniquée mais apres j'ai vu que c'était inutile de s'inquieter parce que tous les cours existaient dans le site de CNED.Un vrai soulagement pour moi.

Merci CNED. Merci a tous ce qui ont réalisé cette organisation a distance

Ecrit par birolc, a 00:30 dans la rubrique troisieme article.
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Jeudi (04/01/07)
reflexions 1er chapitre du T. Soubrié
PEDAGOGIE DE L’AUTONOMIE : LES GRANDS PRINCIPES
Un changement de paradigme éducatif
L’apprenant:
On appelle « apprenant » celui qui vient se placer en position d’apprentissage d’une langue étrangère. Dans le domaine de la didactique et de la pédagogie « apprenant » et « élève » sont deux termes en concurrence. Lorsqu’il s’agit de l’apprenant on se centre tout de suite sur les relations entre les enseignants et les apprenants. Quant à « élève », on parle plutôt de la pédagogie lorsqu’il s’agit du domaine de l’école et de l’enfant. Dans la didactique du FLE on voit mettre l’accent sur des apprenants, c’est-à-dire des personnes plus âgées que les « élèves ».
Legendre et Germain nous conseillent que la réussite d’un enseignement de langue tient à l’équilibre entre trois composantes: sujet; agent, objet. Chacune des ces composantes mérite une réflexion avant de prévoir un programme et une méthode d’enseignement.
Dans son article Brigitte Albero rend compte d’un changement à travers le schéma “l’évolution du triangle pédagogique dans le contexte de l’autoformation.” Dans cette pédagogie de l’autonomie, l’apprenant devient l’élément central du modèle. Dans le même mouvement on fait une différence entre l’information extérieure, les connaissances qui sont les résultats d’un processus d’appropriation par l’apprenant et les savoirs que l’on peut définir comme des connaissances institutionnelles.
On utilise le terme “contenu” plus neutre que « savoir ». Le contenu c’est insister sur le travail de construction auquel doit se livrer l’apprenant. C’est l’apprenant qui décide de son programme de formation. Ce qui me paraît un peu impossible pour les débutants. Car à mon avis les débutants ont besoin de la présence d’un enseignant pour leur motivation et orientation pédagogique. Les débutants, surtout s’ils sont petits, (par exemple âgés de 11 ans), ne peuvent pas savoir les ressources qu’il faut utiliser même si elles sont bien indiquées dans la méthode d’apprentissage.
Dans mes classes de 6ème j’utilise peu l’ordinateur mais quand il m’arrive de faire un exercice je répète plusieurs fois ce qu’ils doivent faire et j’écris au tableau. Car à ce niveau de jeunes débutants, ils ont du mal à comprendre les instructions. Les centres de ressources ne leur servent pas à grande chose. Au niveau débutant il faut que l’apprenant ait 16 ans et plus.

Document 2:
Un dispositif d’accompagnement:
Dans cet exemple l’objectif est l’autonomisation des enseignants : Je suis tout à fait d’accord. L’enseignant connaissant le niveau des élèves peut les orienter et les encourager à faire les tâches proposées sur internet. A mon avis l’apprenant débutant ne doit jamais rester seul devant l’ordinateur parce qu’à ce niveau il ne peut pas fixer ses objectifs de formation. Il lui faut des dispositifs mixtes qui alternent des temps de formation en classe et des temps de formation en autonomie c’est-à-dire des dispositifs “hybrides”.
La notion d’accompagnement
“Etre autonome, comme le rappelle Henri Portine, ce n’est pas se débrouiller tout seul mais construire un projet d’action et gérer la réalisation de ce projet”. Tout d’abord il faut bien connaître les besoins et le niveau de l’apprenant. C’est à l’enseignant de faire connaître à son apprenant son niveau. Et c’est lui qui va préparer des exercices adéquats au niveau de ses élèves même s’il s’agit des élèves d’une même classe.
A mon avis un apprenant ne peut pas savoir exactement par quelle tâche faut-il commencer devant un tas de ressources offert par l’internet.
Les différents domaines d’application
Henri Holec dit qu’il y a trois domaines qui donnent lieu à un travail spécifique sur les représentations :
La langue:
Les élèves doivent être sensibilisés à la différence qui existe entre la langue écrite et la langue orale. Dans mes cours je précise souvent cette différence pour attirer leur attention aux aspects spécifiques de chacun de ces usages. Parfois pour qu’ils puissent bien comprendre ce qu’ils entendent j’écris au tableau la phrase de la langue orale : par exemple: « ouais » = oui ; « j’sais pas » = je ne sais pas ; « t’es là » = tu es là, etc. Et dans les classes intermédiaires je leur demande d’écrire ce qu’ils viennent d’entendre.

La méthodologie:
Comme méthodologie j’utilise le CECRL bien préparé pour tous les niveaux. Mais il faut quand même bien faire la répartition des niveaux aux classes pour pouvoir travailler avec des groupes homogènes. Pour ce faire, j’envisage proposer des plans annuels et des fiches pédagogiques en prenant en compte les objectifs du CECRL. Car ces objectifs sont conformes également à ceux de notre établissement où le français est la deuxième langue étrangère.

La culture d’apprentissage
Bien sûr il faut bien savoir par où commencer à apprendre quelles méthodes utiliser.
Technique de travail : comment?
La façon dont se déroule un apprentissage: quoi?
Moi, je choisis plus souvent les nouvelles méthodes qui intègrent les objectifs du CECRL et qui correspondent à leur âge et à leur niveau. Je rappelle que mes élèves ont des âges variés : de 11 à 18 ans. Donc il faut choisir soigneusement la méthode et les manuels qui leur plairont.
Document 3
Exemples d’activités
J’essaie de faire faire des sketches dans les classes des sixièmes qui ont 11 ans et qui aiment bien bouger et rester debout.
Dans notre établissement, dans toutes les salles de classe il existe un ordinateur avec un projecteur. Ce matériel facilite l’animation d’une classe de FLE avec un film ou des activités interactives existant sur internet qui motivent les apprenants. Parfois j’organise des concours en classe avec deux équipes. Les élèves sont tout de suite motivés : ils s’enthousiasment, ils participent et ils veulent apprendre plus.
Lors des exercices sur la compétence de « lire et comprendre », je leur répète sans cesse qu’ils n’ont pas besoin de comprendre tous les mots. Je vois bien qu’un apprenant, quand il lit un texte entièrement nouveau, il veut savoir tous les mots et me demande leur sens ou leur équivalent dans sa langue maternelle. Je ne lui donne pas la réponse et lui demande de les trouver à partir du contexte. Après avoir lu deux fois, souvent il trouve le sens du mot.
C’est la stratégie de « lire et comprendre » que j’ai adoptée pour eux. Comme leur première langue étrangère est l’anglais ils reconnaissent certains mots communs au français et à l’anglais. Ceci facilite, en partie, mon travail en enseignant le français.
Mais, par ailleurs, la connaissance de l’anglais comme première langue étrangère pose souvent des problèmes au niveau de la prononciation du français. Car les élèves qui reconnaissent un mot commun à l’anglais et au français ont tendance à le prononcer comme s’il s’agissait un mot de l’anglais. Et la correction phonétique est souvent très difficile.
Ecrit par birolc, a 12:39 dans la rubrique 2 eme article.
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Jeudi (30/11/06)
bonjour
--> je me présente

Ceylan Birol

Bonjour je m’appelle Ceylan Birol j’enseigne le français depuis dix ans dans un lycée privée à Istanbul. Mes élèves apprennent le français comme deuxieme langue étrangère. İls apprennent l’anglais comme premiere langue donc ils le maitrise mieux. j’ai plusieurs niveaux de classe.

Dans mes cours j’essaie d’utiliser internet et la technologie.

1-Enseignement enrichi par les TICE

 Dans mes cours j’utilise parfois les ressources d’internetes comme par exemple: mes étudiants qui sont en classe de lycée ont le niveau de B1 (CECR). J’ai trouvé un exemple d’examen B1 et j’ai utilisé afin de comprendre leur niveau de langue ou bien dans quelle compétence il faut les renforcer. Je leur demande de préparer des projet en faisant des recherches sur l’internet.Par ex: préparer un exposé sur ecrivain célèbre ou la mode  a partir du 19 eme siecle.ou bie encore La turquie et l’union éuropéen.La personne qui fait la recherche le presente sous forme de power point.et pose des questions après avoir fini sa présentation.Ainsi on est dans un milieu intaractif.

 Ils me disent parfois que la langue de l’internet est dificile à comprendre .Dans ce cas ils ont recours à l’anglais ce que je ne préfère pas beaucoup.

Avec les étudiants plus petits nous allons au laboratoire on fait des exercices de certaines sites,selon leur niveau. Ex.Bonjourdefrance.com. polarfle.com.etc.

Les livres de méthode aussi ont parfois leurs site internet j’utilise pour trouver des exercices complémentaires.

 

2-Formation des enseignants aux TICE

De nos jours avec l’utilisation de l’ordinateur et internet il faut que les enseignants acquierent les compétences et pour cela on a besoin des formateurs qui viennent dans les etablissements pour aider aux enseignants à l’integration de la technologie. Chez nous il y a des spécialiste de la technologie mais comme ils ne sont pas spécialiste de l’enseignement un travail pareil ne peut effectuer pour l’instant. Moi en tant qu’enseignant je cherche à me dévélopper sur ce sujet mais cela ne suffit pas .

 

3-Tutorat en ligne

Dans un tel environnement quelle activité proposer?: Tout d’abord il faut construire une espace selon les niveaux de langues.Ensuite on peut proposer des sujet de conversation. L’étudiante choisit son sujet et commence à dialoguer avec la personne qui est dans la meme platforme.Tous les deux peuvent avoir un role différent et il jouent.Par ex: l’un peut être le serveur l’autre le client dans un café. Avec un exercice dirigé on peut produire une conversation au téléphone mais  la personne va parler avecl’ordinateur .On peut dire à l’apprenant les questions qu’il va poser avec des phrases simples:”Maintenant tu appelles ton amie mais sa mere est en ligne demande si il est à  la maison .La mere (l’ordinateur repond) apres son ami vient .Alors on lui dit de lui inviter au cinema etc.

Pour cela il faudra peut-etre plusieurs tuteurs pour gérer la situation et par ex. s’ils font une erreur le mot peut se souligner en rouge.

 

4-Tutorat en centre de ressources langues

 

Il faut que les tuteurs aient la capacité d’aider à un nouvel apprenent venu en ligne et sache ses besoins.

5-Responsabilité d’un centre de ressources langues

Il vaut mieux qu’un responsable d’un centre de ressources langues soit en meme temps un pécialiste des langues pour auto-apprentissage. Car la personne qui utilisera le site voudra apprendre plusieurs choses par auto-apprentissage.

 

6-Création de ressources multimédia

Pour le niveau de creation multimedia amateur.Il faut consacrer beaucoup d’heures. Moi qui ai déjà plusieurs niveaux de classe je n’ai pas d’heure suffisant pour preparer un tel travail. Mais dans l’avenir peut-etre j’aurai plus d’heures libres  alors je voudrais bien essayer de créer de ressources mutimédias.En ce qui concerne l’apprentissage d’une langue entierement à distance . Je suis tout a fait contre à cette idée parce qu’un apprenant a besoin d’un professeur présentiel. Apprendre une langue nécéssite une certaine motivation que l’on ne peut pas trouver à distance.Le professeur présentiel est là vivant avec son sourire et ses gestes tandis qu’une apprentissage à disatance n’a acune motivation pour l’apprenent .Elle est juste devant une machine mais pas un être humaine.

D’après moi un cours de langue hybride est plus préférable.

Créer des ressources professionnelles peut coûter cher.Parce qu’il faut absolument une équipe qui va travailler en collaboration.Surtout la presence d’un didacticien et un pédagogue sera nécéssaire en premier lieu.

7-Chef du projet multimédia

Le Chef du projet doit être compétant dans plusieurs domaines . ex: gérer une équipe ; connaitre les différents métiers;connaitre les couts Etc.Donc Il n’est pas nécéssaire qu’il soit un enseignant.

 

8- Responsabilité TICE dans une institution de langues

 

Les responsables de TICE aurait la capacité de diriger un projet .Ils préfèreront que dans son équipe aient des enseignants qui ont déjà passé une formation de TICE et qu s’y investissent .

 

 

Pour la conclusuion on peut dire que les enseignants de langues doivent posseder un compétence de base sur ce sujet et qu’il leur faut une formation et  encourager les apprenants à utiliser les ressources d’internet. Pour un enseignement qualifié il faut savoir sélélectionner des ressources et concevoir des taches.Aider à la demande durant la réalisation des tâches.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ecrit par birolc, a 18:06 dans la rubrique Présentation et Article.
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